Presque passée inaperçue, Tidelands (2018) est dispo sur Netflix depuis le 14 décembre. Ca parle de sirènes, de trafics de drogues et de cul. Bref, ça se laisse regarder…

Calliope McTeer (Charlotte Best) a une bonne vingtaine d’années et sort de dix ans de prison pour incendie volontaire, ça nous plante un peu le personnage. Elle retourne dans son petit village (Orphelin Bay) aux allures de station balnéaire sur la côte australienne. Le jeune femme va alors découvrir que son frère est patron d’un réseau de trafic de drogue. Ah oui, et Augie (son frère interprété par le très hot Aaron Jakubenko) ne se fournit pas chez n’importe qui puisque ses fournisseurs sont des Tidelanders, ce peuple mi-humains, mi-sirènes…

Beaucoup de seins, de culs, de sexe ou de magnifiques silhouettes plutôt bien galbées, bref on pourrait croire que les producteurs ont voulu nous faire plaisir. Evidemment, on en profite quand même pour mater un peu, faut dire que TOUS les acteurs sont bien foutus. On ne va pas cracher dessus non plus !

Plus subtile que juste du sexe

Malgré l’enroule des sirènes, on ne se retrouve pas avec une série cliché (type Vampire Diaries) où on voit à tout bout de champ des coquillages, des queues de sirènes et des poissons qui parlent. La série australienne revisite avec subtilité le mythe des femmes poissons. On ne se focalise pas que sur les belles sirènes puisque des intrigues familiales et des histoires d’amours interdits s’ajoutent à ce trafic de drogue aux allures de Narcos.

Tidelands, série que l’on conseille, composée de huit épisodes de 50 minutes, porte bien son histoire. Une petite nouveauté venue tout droit du pays des kangourous, même si certaines scènes (surtout au début) sont clichées, elle finit par nous charmer de sa voix…de sirène (oui on a fait cette blague et on l’assume). La saison est disponible légalement et dans son intégralité sur Netflix.